Patronyme excitant, en forme de slogan un rien provocateur, deux syllabes qui claquent, déjà un nom de code.
Tout a commencé en 2000 par la rencontre de cinq musiciens prêts à tout, fiers de leurs multiples expériences respectives mais décidés à explorer de nouveaux territoires musicaux.
Cinq personnalités fortes, complémentaires, cinq musiciens au joyeux look cyberfunk, tous hantés par la même idée : faire tanguer le public et l’emmener rêver au cœur de la nouvelle révolution électronique.
S’il y a un concept Nojazz, il est très simple : mixer l’esprit de la soul et du jazz des origines (la fête) avec les rythmes hypnotiques des sons actuels. Soul et jungle, trip hop et fanfares, mélodies et samples, funk hard bop à la sauce drum’n’bass, c’est le mariage du swing et de l’électronique.
Les membres du groupe
Crédit photos: Franck FOLLET
Philippe Balatier (Balatman), a joué avec Isaac Hayes , Didier Lockwood, Yannick noah…, clavier et magicien des samples, fan de James Brown et de Propellerheads – “des parties de claviers dignes de Joe Zawinul et des accords gouleyants et bulbeux à la Richard Tee (Just the two of us)”
Pascal Reva (Bilbo), batteur multi-instrumentiste issu de la Pop a joué avec Patricia Kaas , Mano Solo, Calogéro… -“des loops pulsants et provocateurs, au minimalisme piège, des séquences sexys, recherchées et envoûtantes pour l’auditeur, mais d’une complexité sans égale pour ce batteur pertinent.”
François Mpondo (Jeffrey)Sa voix en Or l’a mené dans bien des projets (BO Walt Disney, Single Larusso, Cérémonies d’ouverture pour le festival du Film de Vladivostok (Russie) et le Guanajuato (Mexique)… Doté par ailleurs d’une énorme présence scénique, il porte haut les nouveaux titres soul/funky de nojazz.
Philippe Sellam (Slam), saxophoniste, a joué avec Gil Evans, John Scofield, Roy Hargrove – “des chorus de saxophone Wayne Shorter teintés de Jan Garbarek jouant à qui « mieux mieux » avec Canonball Aderley devant un grand verre de Wilton Felder (des colos ethniques façon ECM, mais à faire fondre la glace suédoise)”
Sylvain Gontard (Iron Sly) trompettiste virtuose, a joué avec , Mélodie Gardot, Nikki Yanofsky, Wynton Marsalis, Lenny Kravitz… “des chorus de trompette avec wah wah et écho sur un mood sensuel façon Tom Browne ou Randy Brecker (Brecker Brothers.)”